Carter Bridges [Fiche terminée]

Peut-être, pour que vous compreniez ce qui m'a pousser à passer les tests d'entrée, devrais-je vous parler un peu plus de moi?

Je suis donc né en Suède, le 21 Février au alentours 3h du matin dans un hôpital de Stockholm des plus banals. Comme pour beaucoup de bébés, l'accouchement s'est passé sans mal et quelques jours plus tard ma mère pu sortir de la maternité en ma compagnie. C'est le jour de ma sortie que je fis la connaisance de mon père. James Bridges, retenu depuis quatre longs jours à Londres pour affaires. Même si il n'avait pu être présent dès le début, par la suite il se rattrapa, se montrant aimant et attentionné. Il l'est bien sûr toujours malgré ses fréquentes absences. Pour rien au monde je ne manquerais ses appels téléphoniques toujours hauts en couleurs. Faut croire que c'est de lui que je tiens mon humour, si remarquable selon la gente féminine.

Mais passons. Durant mon enfance, ainsi que mon adolescence, je ne manquais jamais de rien, j'avais même plus que ce dont j'avais besoin, mais jamais je ne frôlais les excès. Mes parents veillaient aux grains, m'apprenant très vite à gérer l'argent. Comme tout jeune, je dus vivre le douloureux passage des petits boulots pour me payer une voiture. Pourtant, je ne le regrette pas, la valeur de mon achat prit tout de suite plus d'importance à mes yeux. Résultat, j'en prends le plus grand soin.

Je ne fus jamais très intéresser par le sport. Ressembler aux grands balèzes digne des séries télés dont rafollaient les filles n'étaient pas dans mes priorités. Bien sûr, je me maintenais en forme en me rendant en salle de sport ou en effectuant de manière quasi régulière un jogging dans le parc. C'est surtout pour moi une bonne solution pour me détendre après les cours et pourquoi pas draguer un petit peu. Si je n'aimais pas le sport, les jolies sportives se trouvaient être des plus intéressantes.

Si je n'étais pas un sportif, j'étais tout le contraire, le parfait intellectuel. Me concentrant sur l'étude des langues mortes durant toute la période du lycée et du collège. C'était loin d'être une passion mais disons que c'était mieux que les maths et les sciences, bien trop ennuyeuse à mon goût. Ces matières demandaient pour moi bien trop de rigeure et de précision. Et pourtant, une fois diplômé l'impossible se produisit. J'avais toujours aimer le dessin, passant une grande partie de mes temps libres à croquer l'intérieur de la maison de mes rêves ou des pièces des bâtisses que j'avais visiter en me rendant chez des amis par exemple. Obersver la décoration et la disposition des pièces étaient très vite devenu un tique chez moi. Quelle idée pour moi qui ne supportait pas la rigeure de me tourner vers le métier d'architecte d'intérieur. Enfin c'est mon rêve et je compte bien tout faire pour le réaliser.

Pour le reste, j'ai entendu dire que j'avais la carrure du gars type "protecteur". Un dos large et confortable sur lequel se reposer et les épaules dans lequelles ont se niche pour confier ses malheurs. Cela correspond, selon moi à ma personnalité. Pour le côté protecteur, il est vrai que j'ai des muscles marqués de manière assez fine. Cela est loin de se voir, mais lors des rares fois où il me fallut me défendre et donner un coup de poing à quelqu'un cela à fait son petit effet.

Lorsque l'on parle de style vestimentaire, ce n'est pas vraiment à moi qu'il faut s'adresser. Je fais rarement attention à ce que j'enfile, me contentant de prendre la première chose qui se trouve sous ma main. Heureusement, la nature à bien fait les choses, j'accorde les couleurs sans m'en rendre compte. On dit merci Maman et Papa.

La différence de température étant assez grande entre les U.S.A et la Suède, il est rare de me voir avec un pull lorsque je me trouve à l'université. Juste un t-shirt ou une chemise accompagner d'un blouson ou d'un veste en cuir lorsque les degrès commencent à chuter. Après ça c'est soit pantalon ou jeans, encore une fois pas de cassage de tête. Pour le reste, chaussures de ville, baskets ou bottines c'est pas vraiment important. Tout dans les couleurs plus sombres bien sûr. Quant à la couleur des chaussettes ou au style de mes sous-vêtements c'est un secret que je ne dévoilerais pas.

Comme dis un peu plus haut, je suis dôté d'un certain humour, frisant parfois la vanne vaseuse mais j'essaye de faire des efforts pour les retenir celle-là. Contrairement à certaines personnes, je vois la vie du bon côté et ne me laisse pas abattre au premier coup dur. Il sera donc rare de me voir de mauvaise humeur ou découragé. Tant qu'il y a de l'espoir, je ferais tout pour arriver à mon but et si n'y en a plus, alors il me faudra en créer! Telle est ma devise personnelle. Mais la persévérance à aussi son revers de médaille, je l'avoue je suis parfois trop têtu ce qui me pousse par moment à foncer tête baissé alors que tout le monde me dit de lever les yeux pour ne pas me prendre un panneau! Façon de parler bien sûr.

Je suis un ami très fidèle. Lorsque quelqu'un m'a tapé dans l'oeil, au sens de l'amitié, je ferais tout pour l'aider et serais à ses côtés en cas de coup dur. Je suis l'oreille attentive, l'épaule le temps de quelques pleures et les bras qui vous aideront à remonter en selle par après.

La gentillesse à ses limites et il ne faut pas non plus en abusé. Si on me pousse à bout ou que l'on se joue de moi, je n'hésiterais pas à sortir les griffes et ne penser pas qu'il s'agit de celle d'un chaton. Lors de mes rares colères, je me montre froid, cynique et extrêment piquant. Dans ces moments là, mon seul conseil sera de ne pas traîner dans les parages. Heureusement que cela ne dure pas longtemps...

Je suis aussi quelqu'un de très désordonné. Dans le genre chambre on désordre on ne pouvait pas faire mieux, même ma mère a abandonné à se montrer sévère vers la fin de l'adolescence. Mais sachez une chose, je me retrouve toujours dans mon bazard, dans mon esprit chaque objet, feuille de papier ou livre est à sa place mais ça vous ne pouvez sûrement pas le comprendre.